jeudi 9 mars 2017

GOYA & MONTERO - TAUROMAQUIA - TAUROMACHIE





utopias (desde París, un andaluz padre de colombiano, pintor comunicando con Madrid ) aquí la gente se acompleja con ser de izquierdas... yo voy a empezar a decir SOY ROJO bravo! pero ten cuidao, hay mucho bestia suelto de todas formas, en efecto, eso no cambia de momento no lo diré si estoy adormilado, sino con los sentidos despiertos les RRRA : Rouges Révolutionnaires Royales Africanisants porque estoy por una anarquía en la que existan las monarquías y la tauromaquia no violenta para la tauromaquia ya lo tengo pensado, si el monarca soy yo, danza delante del toro eso mantiene la ganadería y no la perjudica se formarán círculos terapéuticos de creatividad taurina y así no se perderá la españa cañí y la vida de Nîmes y la Provenza y la Camargue, así como la tauromaquia latino-americana cuando alguien se atreva a lanzarse al ruedo para bailar según el espíritu flamenco del toreo revolucionará la tauromaquia traumatizando a los fachas los toreros estarán menos estressados, habrá más toreras, y por supuesto los toros se lo pasarán de fiesta ya que creatividad taurina incluye cosquillas y dramaturgia

Musique : Manuel , Bissecta , Arthur-Louis Cingualte
Manuel Montero, peintre et poète né en Andalousie en 1970, présente des dessins faits aux arènes de Las Ventas (Madrid) et un travail de palimpseste sur la série de gravures de Goya relatives à la tauromachie. Les gravures ont été retravaillées dans leur totalité sur un exemplaire de l'édition de Fraga Iribarne, à l'époque du tirage, Ministre du Tourisme du régime de Franco.
Montero a travaillé au pastel Sennelier "poudreux", en rajoutant souvent des effets propres à la scène et de nouvelles figures, sauf pour deux des gravures coloriées discrètement au crayon de couleur en souvenir de Pierre Klossowski dont les réflexions s'inséraient dans le motif du chasseur chassé et de la mort d'Actéon poursuivi par sa meute de chiens. En marge de l'estampe, des occasionnels collages d'enveloppes de sucre du Ritz et d'autres lieux de Madrid, ou un article d'un journal maoïste datant de la fin de la dictature. Dialectique entre l'Espagne "afrancesada" et l'Espagne dite atavique ou Negra.
Manuel Montero s'est toujours laissé guider par la lecture attentive des figures que Goya a mises en scène sans jamais altérer l'intention et l'idée originelle de son guide symbolique. Le travail pictural s'accompagne chez lui, comme chez Blake ou dans la gravure alchimique, d'écritures à mystères qui sont ses notations personnelles et ses aphorismes. Par l'apparition de symboles ou d'allusions, et sans peur de l'indiscrétion ou du scandale, Montero fait devenir chaque gravure sa propre faena, et son propre toreo, n'étant pas un artisan effacé ni un simple interprète, non plus
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Mon expo sur la tauromachie, rue du Pont Louis-Philippe, au siège du Parti Communiste, m'a valu, pour tout scandale et tout sulfureux, d'avoir une discussion avec une écolo anglaise, qui m'attribuait un penchant pour la cruauté, c'est mieux que rien. Je lui ai parlé dans ma tauromachie intérieure du rôle de lien social du sacrifice, et que c'était parce qu'on mangeait comme ça le taureau que l'on ne mangeait pas les hommes, que la violence restait suspendue, comme dans le sacrifice d'Abraham. Il était état aussi du fait qu'en Espagne c'était fréquent d'être végétarien chez les jeunes, même si en tant que modernes ils allaient aux corridas ou aux matanzas du porc dans les villages. Je voulais lui parler d'une amie à moi qui ne mangeait pas de viande mais ses propres poulets dont elle avait à peine une dizaine. Faire devenir un projet de livre sur Dante, à mi-chemin, et sans le modifier, juste dans l'évolution du texte, un livre sur James Joyce, est quand-même une formule empruntée à la Métamorphose de Kafka... lundi 3 juin 2013
Commentaire pour "Que veut dire être contemporain ?" - Jean-Clet Martin sur France Culture EVE LIVET a réalisé un entretien audio avec moi à ce sujet, du CONTEMPORAIN, et j'espère qu'elle le rendra publique, malgré son perfectionnisme... Que peux-je avancer ? Que je réalise des oeuvres dont il pourrait être dit cela : Cela revient à dire qu'il y aura toujours des textes, des ouvrages, méconnus. Et, avec eux, des pensées qui passeront à l'oubli sans pour autant le mériter aucunement. Assumer cela, et chercher dans la folie à ne pas rendre plus grave la souffrance de celui qui souhaite une écoute, c'est la tâche de notre curiosité en tant que vertu, le désir de savoir dépourvu de mesquinerie, et pourvu d'un je-ne-sais-quoi chimérique. Alternance chez nous, donc, de fertilité et d'onanisme. Pas forcément différents des animaux, parce que la loi de ce bas-monde prévoit aussi la perversion, comme l'a observé froidement le Marquis de Sade.


(JE FAIS DES LIVRES D'ARTISTE SUR DES LIVRES D'ART OU SUR LA SICILE, L'ESPAGNE, MAIS VINTAGE. CE SONT DES JOURNAUX INTIMES, DES REPERTOIRES DE PORTRAITS, NUS SOUVENT, ET DES NOTATIONS SOUVENT THÉMATIQUEs)

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